La Princesse
Le Roi Goodheart était un roi apprécié de ses sujets. Ses lois étaient empreintes de justice. Le peuple appréciait d’avoir un monarque si populaire et compréhensif.
Malheureusement, sa fille ne possédait aucun des traits de caractères positifs et humains de son père. Cette superbe jeune fille blonde était méchante et capricieuse. Elle adorait terroriser ses serviteurs et ne manquait aucune occasion de tourmenter les domestiques.
Le jour de ses 19 ans, le Roi lui fit cadeau de son souhait le plus fort : un esclave personnel rien que pour elle. Le Roi était bien conscient des traits de caractère particuliers de sa fille et avait longtemps hésité avant d’exaucer son désir. Il était convaincu que cet esclave passerait de durs moments sous les services de sa fille. C’est grâce à la Reine (une superbe femme très autoritaire) qui donnait au vœu de sa fille une grande importance, que le Roi céda. De plus, il aimait beaucoup sa fille et il n’aurait pus résister longtemps à ses désirs.
Et donc arriva le moment ou la jeune fille fut autorisée à choisir son esclave personnel à partir d’un groupe de servants masculins de la Cour. Après de longues hésitations, elle choisit Irdian, un jeune garçon qui était responsable des jardins du château.
La veille de son anniversaire, la princesse Setira eut la garde de son nouvel esclave. Le garçon fut emmené dans sa chambre, ou il attendit sa nouvelle maîtresse le cœur battant. Après une demi-heure d’attente anxieuse, Setira entra dans la pièce. L’esclave attendit respectueusement après ses commandements. Elle le regarda et dit brusquement : « Que fait tu à attendre ? Allez, mets toi à genoux, je suis ta nouvelle Maîtresse, ton destin est à moi.
Surpris de ce ton peu amical sur lequel elle s’adressa à lui, il s’agenouilla et tarda à poser son regard sur sa maîtresse. Cela fut sa première erreur. La Princesse s’approcha de lui et lui remonta la tête en le prenant par les cheveux. « Regardes moi quand je te parle. Comment peut tu ignorer ma beauté à ce point ! ». Elle était non seulement pleine de méchanceté mais elle était aussi très vaniteuse. Sa chambre était remplie de miroirs ou elle pouvait s’admirer. Il faut admettre qu’elle «était une très jolie fille.
Elle tira sa tête en arrière par les cheveux pour qu’il la regarde. « Tu n’es bon à rien pauvre larve ». Elle le releva et lui cracha sur le visage, « tu vas être un objet pour moi, je t’utiliserais comme bon me semble. Cela fait des années que j’attends ce plaisir, et maintenant le temps est venu. »
Elle relâcha les cheveux de son esclave et le repoussa. « Je ne veut pas te revoir ici avant une heure. Pendant ce temps, prends un bain et va te chercher des vêtements neufs. Je veux un esclave propre qui ne m’insulte pas de par son apparence ! ». L’esclave se hâta de sortir pour exécuter les ordres de sa maîtresse.
« Je ne sais pas si c’était une bonne idée de donner ce jeune homme à notre fille » dit le Roi, un peu troublé. Il regarda au dehors les jeunes filles du château qui jouaient ensemble. Elles étaient les filles des personnes de la Cour et prenaient du plaisir à jouer ensemble. La Princesse avait toujours refusé de participer aux jeux avec elles. C’était s’abaisser pour elle que de se mélanger à d’autres filles.
« Pourquoi pas ? Ne t’inquiète pas, elle connaît ses limites, » le rassura la Reine. « Le crois tu vraiment ? ». Le Roi restait sceptique. « Absolument », lui rétorqua sa femme. « Eh bien, nous verrons…mais nous devrions garder un œil sur elle. C’est un petit démon tu sais… » La Reine lui promit qu’elle s’occuperait de surveiller sa fille.
Un soir, quelques mois après l’anniversaire de la Princesse, la Reine entra dans la chambre de sa fille. Elle venait lui annoncer une bonne nouvelle : un de ses chevaux venait de mettre bas. Mais elle chercha sa fille en vain, ni Setira ni son esclave n’était là. La Reine marcha un peu dans les appartements sans bruit lorsqu’elle passa devant une petite salle en renfoncement. Elle put voir sa fille, assise sur quelque chose. Cela n’aurait rien eut de surprenant si ce n’était pas le visage de son esclave qui formait le siège sous le magnifique derrière de la jeune fille. Elle était en train de coiffer ses longs cheveux blonds, assise sur son siège humain. Il ne semblait pas la concerner du tout que l’homme sous ses fesses essayait desesperement de continuer à respirer. Sa tête était bloquée entre ses fesses, il n’y avait que la petite culotte de la Princesse qui empêchait sa tête de s’enfoncer plus profondément dans son derrière. Pendant un moment, la Reine ne savait comment réagir. La Princesse n’avait pas entendu la Reine, elle décida de partir sans rien dire.
D’un côté elle était abasourdie de la façon dont sa fille utilisait son esclave, mais d’un autre cote, elle était fascinée par la scène à laquelle elle venait d’assister. Ce n’était pas une coïncidence si sa fille était si cruelle. Sa mère aussi aimait dominer les hommes. Souvent, des domestiques venaient le soir dans sa chambre pour la servir. Ils devaient garder le silence sous peine de punitions sévères. L’apparent plaisir que prenait la Princesse à s’asseoir sur le visage d’esclave était aussi un des plaisir de sa mère. Bien sur, son derrière était bien plus gros que celui de sa fille, et quelques hommes avaient déjà perdu conscience sous ses fesses pendant que la Reine, assise sur leur visage, ne pensait plus à eux !
Comme sa curiosité était éveillée, elle décida de retourner voir le spectacle. Elle ouvrit légèrement la porte sans bruit et arriva à temps pour voir la Princesse relâcher son esclave. Elle leva son derrière et regarda en bas le visage tout rouge se son esclave. « Tu ressembles à une tomate ! Et maintenant remercies moi pour t’avoir autorisé à renifler le cul de ta Princesse ! Je n’ai jamais accordé cette faveur à quelqu’un d’autre avant ! »
« Merci, Maîtresse, de m’avoir permis de sentir votre derrière ». Le manque d’air lui avait presque éteint la voix. « Je pense que tu seras bientôt à nouveau honoré de cette faveur, mais je penserais à quelques améliorations pour me servir encore mieux ! »
En quittant la pièce, Irdian rencontra la Reine à la porte. « Stop ! » dit la Reine à l’esclave en le forçant à s’arrêter. Elle prit le visage violet entre ses mains et le regarda droit dans les yeux. « Je vois que ma fille sait comment diriger des hommes comme toi… ». Elle lui tordit le nez et l’esclave ne bronchât pas. Elle laissa l’homme repartir et lui ordonna de passer à la salle de bain.
Pendant ce temps, la Princesse regardait et lui sourit. « Je me suis assise sur son visage Maman ! C’est merveilleux de posséder un esclave à soi ! » « Oui, je sais » lui répondit sa mère.
L’hiver arriva et, comme chaque année, le Roi invita de nombreux princes et leurs familles au château juste avant Noël. Le Comte Walter von Mehring était accompagné de sa fille Lisanne, qui était du même age que la Princesse. Elle était aussi une très jolie jeune fille aux cheveux noirs. Elle était la seule à pouvoir être amie avec la Princesse. Les deux filles avaient les mêmes centres d’intérêts et s’aimaient bien.
Setira entendis son amie arriver et descendit dans le hall. Elle embrassa Lisanne. Elles ne s’étaient pas vues depuis longtemps. « Mon père m’a offert un poulain tout blanc pour mon 19eme anniversaire » dit Lisanne fièrement. « C’est rien, que penses tu que mon père m’a offert pour mon anniversaire ? Hein ? » Setira regarda Lisanne. « Je ne sais pas,… un animal de compagnie aussi ? Peut être ? » « Non, quelque chose de bien mieux : J’ai un esclave personnel. Qu’en dis tu ? ». Lisanne était très surprise. « Un esclave-rien que pour toi ? C’est vraiment un cadeau fantastique ! » « Et je peut tout lui faire faire. Il doit suivre mes ordres tout le temps et il n’a pas le droit de se plaindre. Nous allons beaucoup nous amuser avec lui ! » « Nous ? Ca veut dire qu’il devra me servir aussi ? » Demanda Lisanne. « Oh, j’attends cela avec impatience ! ». Les deux jeunes femmes montèrent en trombe dans la chambre de Setira.
Il était tard dans la nuit lorsque la Reine s’éveilla. Elle avait cauchemardé et n’arrivait pas à se rendormir. Elle désirait utiliser un de ses servants pour ses plaisirs personnels. Le Roi dormait dans une chambre personnelle car il ronflait trop fort. La Reine fit mander son valet de chambre et lui demanda de faire venir un homme nommé Sanbert dans sa chambre. Il était la victime favorite de la Reine, depuis qu’il avait fait montre de grands talents en exécutant un des plaisirs oraux tant appréciés de la Reine. Sanbert devina facilement ce qui allait lui arriver. Il entra dans la chambre de la Reine. « Dépêches toi, ta Reine n’aime pas attendre ! ». Il s’agenouilla devant elle et embrassa ses pieds. Lorsqu’il se releva, il reçu une claque sur la joue, puis une autre et encore une autre. La Reine lui infligea une vingtaine de claques avec un sourire sadique. Elle regarda le visage rougi « Maintenant, mets toi derrière ! ». Il s’agenouilla derrière sa maîtresse, releva sa robe de nuit, fit glisser doucement la culotte de sa Reine et vint poser sa bouche entre ses fesses. Elle écarta ses fesses avec ses mains. Une odeur épicée vint lui remplir les narines. « Eh bien, qu’attends tu ? A quoi te sert ta langue ? ». L’homme commença à lécher le royal anus, doucement puis de plus en plus énergiquement. Un râle de plaisir sortit de la bouche de la Reine. Mais ce n’était qu’un avant goût. « Maintenant, au travail ! ». Elle ordonna à Sanbert de s’allonger sur le lit. Elle monta sur le lit et plaça son derrière sur son visage en ayant pris soin de bien écarter ses fesses avant. Elle s’assit de façon à ce que le nez de son esclave soit positionné dans son anus et que son minou soit en face de la bouche. Elle bougea un peu pour bien se positionner, de la manière la plus confortable pour elle et elle signifia qu’elle était prête. Elle était assise de tout son poids sur le pauvre homme ! Sa tête était presque entièrement engloutie entre les fesses de la Reine. Sanbert fit son possible pour combler sa Reine. Le corps de sa Reine pesait fortement sur son visage. Elle profitait des services de cette langue sous elle sans aucune pensée pour l’homme qui luttait pour respirer ! Encore une fois, le pauvre homme était partit pour une longue et difficile nuit…
Setira et Lisanne jouaient ensemble et étaient heureuses de se retrouver. « Ce soir, je te présenterais de quelles manières plaisantes nous pouvons utiliser mon esclave, » annonça Setira. « Manières plaisantes ? Que veut tu dire ? »Demanda Lisanne. « Nous allons avoir beaucoup de plaisir, attends un peu ! ».
« J’ai faim, on y va ? » et les filles se dirigèrent vers la salle à manger.
Les parents de Setira étaient déjà à table. Le Roi sourit lorsque les filles arrivèrent « Avez-vous eu une bonne journée ? » demanda t il. « Oh oui, papa c’était fabuleux, je n’ai pas de meilleure amie que Lisanne ». « Je suis heureux que vous preniez autant de plaisir toutes les deux ! » dit la Reine.
Elle était de bonne humeur suite à la longue nuit passée assise sur la bouche de son servant.
Apres le dîner, les fille montèrent dans la chambre de la Princesse. L’opulent dîner avait rassasié les deux jeunes filles. « J’ai trop mangé ! » dit Lisanne. « Moi aussi. Je ne me sens pas très bien. Mon ventre semble comme un ballon trop gonfle. ». Les filles s’allongèrent sur le lit, pendant que Irdian leur procurait de l’air frais avec une large feuille. « Je crois que je vais lâcher un vent ! » annonça Lisanne en riant. Setira se leva brusquement. « J’ai une idée ! » dit elle. « Esclave ! Vient t’allonger sur le lit à coté de nous ! ». Irdian fit ce qu’elle lui dit. « La tête vers nous ! ». Lisanne regardait son amie et demanda : « Que fait tu Setira ? ».
« Maintenant nous allons jouer ! Assied toi directement sur le visage de mon esclave et lâches ton vent directement dans son nez ! »
« Dans son nez ? Mais ça va être terrible pour lui… »
« Pourquoi tu préoccupes tu d’un esclave ? Il est à moi-et donc à toi aussi. Nous pouvons lui faire tout ce que nous voulons ! Fais lui sentir tes gaz ! »
Un sourire commença à poindre sur le visage de Lisanne.
« Si tu le pense vraiment… OK, Ca va être drôle de me lâcher directement dans son nez… »
« Bien sur ! Il va devoir sentir ton odeur même s’il ne l’aime pas ! »
« OK, Je vais m’asseoir sur son visage », dit Lisanne en montant sur le lit et en s’asseyant sur le visage du pauvre esclave !
« Enleve ta jupe pour qu’il puisse bien sentir »l’encouragea Setira. « Assieds toi bien, tu n’as pas à t’occuper de lui ! Et maintenant vas-y ! »
Lisanne se lâcha complètement sur le visage de l’esclave qui prit tout le vent dans le nez.
« Je l’ai fait ! Je l’ai fait ! Directement dans son nez ! Il doit maintenant respirer toute l’odeur ! »
« Ca c’est sur ! » Les deux filles regardèrent Irdian essayer de combattre sa nausée sous Lisanne.
« Ce doit être la salade de haricots »
« C’est ce qu’il faut pour le nez d’un esclave ! »
« J’aime ça tu sais. Je ne me suis jamais assise sur un visage avant ! Son nez est bien placé pour stimuler mon petit trou ! »
« C’est vrai, c’est un grand plaisir ! Je t’avais promis que nous aurions du plaisir »
Le jeune homme était toujours allongé sous Lisanne. Elle leva légèrement son derrière pour lui accorder de l’air frais.
« Pas besoin de faire ça » lui dit Setira « Je l’ai bien entraîné. Il peut tenir quatre heures sous mes fesses avant de commencer à suffoquer. »
« C’est vrai après tout, ce n’est qu’un esclave ! » et Lisanne se rassit lourdement sur la tête de l’esclave.
« Je peut te demander une chose ? »Demanda Lisanne
« Biens sur »
« T’es tu déjà assise sur lui…euh… autrement ? »
« Comment ça – autrement ? »
« Eh bien…euh… je veux dire, sans ta robe et ta culotte… »
« Ah, nue tu veut dire ? bien sur, après tout il a une langue et peut donner beaucoup de plaisir à une fille ! »
« Tu veut dire qu’il enfonce sa langue dans l’endroit ou il à son nez en ce moment ? »
« Pas seulement là, sa langue donne beaucoup de plaisir aussi dans ton minou ! »
« Et tu l’a déjà fait avec lui ? »
« Bien sur ma chère, tu est assises sur son nez seulement en prélude ! »
« Quand je pense à tout ça, je commence à être excitée…j’aimerais sûrement beaucoup essayer… »
« Mais bien sur, a qui d’autre que ma meilleure amie je laisserais mon esclave faire ça ? Déshabillons nous et commençons à avoir du vrai plaisir ! »
« Oh oui !! » cria Lisanne en se relevant du visage d’Irdian. Son visage était marque des traces de la culotte de Lisanne. Il était évident qu’il avait souffert sous le derrière de Lisanne.
« Regardes comme il est, comme si il avait été étouffé ! t’inquiète pas je l’ai souvent vu comme ça ! ».
Les deux jeunes filles enlevèrent leurs vêtements et se tinrent face à leur esclave totalement nues.
« Maintenant, je veux sentir ta langue esclave ! »Dit Setira en venant s’asseoir face à son visage et en plaquant son minou sur sa bouche.
« Allez, plus fort ! ».L’esclave commença à lécher sa Maîtresse doucement au début, puis en augmentant la vitesse et le rythme. La fille sur lui commençait à gémir de plaisir. Lisanne, assises à cote, sentait son minou s’humidifier de plaisir. La Princesse commençait à bouger de plus en plus sur le visage d’ Irdian. Puis soudain elle eu un orgasme, elle balança sa tête en arrière et resta comme cela assise sur l’esclave. « Hm mm, c’était fantastique encore une fois ! »
« Waw, c’était super de te regarder ! Je ne savais pas qu’une chose pareille était possible ! »
« Maintenant, son visage est à toi. Utilises le comme tu veut ! » A ces mots la Princesse enleva son minou de la bouche de son esclave. Sa figure était rouge comme une tomate et poisseuse de tout le liquide issu de la chatte de Setira. « Vas te débarbouiller le visage ! »
Le pauvre esclave partit se laver.
« J’aimerais quelque chose de différent » dit Lisanne lorsque l’esclave rentra.
« Comme je t’ai dit, tu fait ce que tu veut ! »
« Bien, tu ne vas pas sur le lit, esclave, je veut que tu poses ta tête sur cette chaise » dit Lisanne en pointant son doigt sur un fauteuil confortable. Irdian s’assit par terre et mit sa tête posée sur le coussin du fauteuil.
« C’est comme ça que je le veut »dit Lisanne, et sans aucune hésitation, vint s’asseoir sur la tête de l’esclave. « Hm, je sens son nez en plein dans mon trou du cul ! » et Lisanne pesa de tout son poids sur le visage d’Irdian.
« Et maintenant, je veux sentir ta langue devant, sur mon clito ! »Irdian commença le travail immédiatement malgré la fatigue de son travail sur sa Maîtresse.
Ce ne fut pas long avant que Lisanne trouve son rythme et bouge en total abandon sur la tête de l’esclave. Le petit bout de son nez créait un contact plaisant avec l’anus de Lisanne tandis que sa langue effectuait un très bon travail dans le minou.
Les mouvements de Lisanne s’intensifièrent autant que ses gémissements et elle finit par un intense orgasme. Elle resta assise sur le visage de l’esclave, totalement à l’abandon.
Setira observa qu’Irdian était à bout. Il commençait à convulser et à manquer d’oxygène. Malgré tout, le cul de Lisanne restait fermement sur la tête d’Irdian, l’empêchant totalement de respirer. Lisanne ne semblait pas le voir –ou ne voulait pas le voir. Elle resta assise sur lui et regarda son amie « C’était fantastique ; Je ne peut pas le décrire avec des mots ! ». En dessous d’elle, l’homme essayait desesperement de respirer.
Setira le voyait bien et cela commençait à l’exciter : « Restes assises sur lui ! »Dit elle à Lisanne « Je veut le voir perdre conscience sous toi ! »
Lisanne essaya alors de peser encore plus sur la tête d’Irdian, qui finit par perdre conscience !
« Je pense que c’est assez pour le moment ! » dit Setira
« Oui après tout, tu ne veut pas le perdre »
« C’est vrai Lisanne, j’en aurais encore besoin ! »
Avec un petit sourire, Lisanne se leva et libera la tête d’Irdian de tout son poids.
Les yeux de l’esclave étaient grands ouverts et sa bouche aussi. Son visage était tout recouvert du liquide vaginal de Lisanne et présentait un dégrade de rouge à violet. Il commençait à respirer à nouveau.
« Laissons le récupérer ici et allons prendre un bain »
Une semaine après que Lisanne soit partie, Setira, allongée sur sont lit, repensait aux jours passé avec Lisanne et imaginait ce qu’elles pourraient faire la prochaine fois avec Irdian. Mais en ce moment, son esclave était malade avec de la fièvre, il n’était pas autorisé à quitter le quartier des domestiques. Tant pis pour Setira, pour le moment, elle préférait être seule et laisser son esprit vagabonder.
Ce que la Princesse ne savait pas, c’est qu’Irdian avait été promu deux jours avant. En ce moment, son visage devait sûrement être écrasé par le formidable cul de la Reine ! Setira avait souvent parlé des talents spéciaux d’Irdian à sa mère.
Peut-être un peu trop…
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